Et si je changeais de fiancé !
Je me demande si je ne vais pas changer de fiancé, moi.
Non que j’aie le moindre grief envers l’actuel, qui a démontré ces derniers jours encore l’étendue de ces indéniables qualités. Il plaît à mes enfants, il plaît à mes amis, c’est lassant… comme il y va, il serait même capable de plaire à mon père. C’est dire s’il est plaisant.
Et puis cette capacité à décimer la faune ! Ca m’épate toujours, il faut bien l’avouer.
Mais à sublime, sublime et demi, et j’ai découvert dans l’un des commentaires de mon post précédent celui qui, peut-être, détrônera le détenteur du titre.
« On me dit pas mal, voir impressionnant. Il m'est arrivé de rentrer à l'improviste dans une salle de dames qui caquetaient, le silence brusque s'installa ». Une phrase sibylline, et le doute s’immisce dans mon esprit. Y’aurait-il plus beau, plus fort, plus divin que Saute-Biniou ?
Si oui, il me le faut absolument car, en toute modestie, je ne fraye qu’avec l’Olympe, le Gotha, et l’uppercrust de l’UMP de Neuilly.
Penchons nous donc sur cet intriguant prospect. DEN, 3 lettres qui flamboient au firmament de la mâlitude absolue. DEN, pour Dionysos et Narcisse. Ses parents hésitaient entre les deux et décidèrent de fondre le tout en ce petit prénom de trois lettres qui n’a l’air de rien mais qui veut dire beaucoup.
Den Hibart-Komack, handicapé par sa splendeur, n’a pas tous les jours une vie fastoche !
A suivre…