RADIS (Rien A Dire Il Semblerait)
J'aurais bien écrit une note. Mais ce dimanche, comme le samedi qui l'a très logiquement précédé, ne m'ont pas laissé suffisamment de temps pour pondre un truc à la limite du moyennement lisible.
J'hésitais entre plusieurs sujets :
- la comparaison des amants par sport. Je peux vous mettre en concurrence : le nageur, le rugbyman, le skieur, le cycliste, le footballer, le... mais non, c'est une note de fond, j'ai pas le temps.
- la méga-chiasse du dimanche en famille chez les parents ou pire - parce qu'on n'a jamais pu s'y faire, les beaups. Un truc que toutes les mères d'oeuf ont connu. Aller chez Papy-Mamy avec le nain fraîchement pondu, se taper le repas dominical avec apéro, entrée, plat, salade, fromage, dessert, tisane, pousse-tisane, et aller pousser la poussette auprès de belle-maman jusqu'au square le plus proche, le bide à la limite de l'explose et la tête farcie des conseils rances et un rien datés de la génitrice de l'homme de ta live du moment. Rien que le fait d'échapper à ce pensum me rassure d'avoir atteint l'âge canonique de 54 ans. Et je promets ici, là, tout de suite et pour toujours, de ne jamais infliger cette horreur à mes propres enfants. Ils seront toujours les bien-venus, mais point d'obligations chiantissimes du dimanche midi. Niet.
- une photo de mon fiancé, nu, accompagnée d'un poème lyrique à la gloire de sa plastique. Mais un reste de pudeur l'a poussé à m'interdire cette publication.
Du coup, j'écris rien. D'ailleurs, j'ai rien à raconter. Pas qu'il ne se soit rien passé dans ma vie, mais bon.
Demain 10h, je file à la gym rue des Martyrs. Si CDS est là, je lui pourris la vie. A chaque jour suffit sa peine, ou son bonheur.
J'hésitais entre plusieurs sujets :
- la comparaison des amants par sport. Je peux vous mettre en concurrence : le nageur, le rugbyman, le skieur, le cycliste, le footballer, le... mais non, c'est une note de fond, j'ai pas le temps.
- la méga-chiasse du dimanche en famille chez les parents ou pire - parce qu'on n'a jamais pu s'y faire, les beaups. Un truc que toutes les mères d'oeuf ont connu. Aller chez Papy-Mamy avec le nain fraîchement pondu, se taper le repas dominical avec apéro, entrée, plat, salade, fromage, dessert, tisane, pousse-tisane, et aller pousser la poussette auprès de belle-maman jusqu'au square le plus proche, le bide à la limite de l'explose et la tête farcie des conseils rances et un rien datés de la génitrice de l'homme de ta live du moment. Rien que le fait d'échapper à ce pensum me rassure d'avoir atteint l'âge canonique de 54 ans. Et je promets ici, là, tout de suite et pour toujours, de ne jamais infliger cette horreur à mes propres enfants. Ils seront toujours les bien-venus, mais point d'obligations chiantissimes du dimanche midi. Niet.
- une photo de mon fiancé, nu, accompagnée d'un poème lyrique à la gloire de sa plastique. Mais un reste de pudeur l'a poussé à m'interdire cette publication.
Du coup, j'écris rien. D'ailleurs, j'ai rien à raconter. Pas qu'il ne se soit rien passé dans ma vie, mais bon.
Demain 10h, je file à la gym rue des Martyrs. Si CDS est là, je lui pourris la vie. A chaque jour suffit sa peine, ou son bonheur.