Spécial K
J'ai entendu hier un humoriste à la radio citer JFK.
Non, pas la Passoire de Dallas, ni l'aéroport qui s'ensuivit, ni Jocelyne Finkel Kraut, ni Jeune Femelle Koala... Jean-François Kahn.
Alors là, je baisse d'un ton (non pas "je baise un thon", enlève les caramels mous de tes cages à miel) parce que c'est un secret et que je l'ai jamais dit avant : j'aime JFK (pas la Passoire, etc).
Je le trouve fascinant d'intelligence, je peux rester la bouche bée et l'oeil écarquillé comme une assiette à dessert à l'écouter pendant des lustres. Il me fascine.
Des fois, il sort une grosse connerie, comme le coup du troussage de domestique pour Domi Single Kraut, et tout le monde lui tombe sur le rable. Tu m'étonnes, c'est tellement rare qu'il patauge dans la niaise que ses nombreux ennemis sont au taquet et attendent le faux pas.
Brèfle, l'humoriste dont je ne me souviens plus le blaze, cite Jeff the Brain qui aurait dit, pour décrire la réaction des courtisans de notre Président en pleine déroute :
On lèche, on lâche, puis on lynche...
Je trouve ça joli et je situe les temps juste entre la seconde et la troisième phase de la phrase.
Je m'aperçois ce soir que c'est le titre d'une chanson de Trust (groupe que je lui popo dessus, vu que j'ai travaillé avec eux dans les années 80 et que je maintiens que Bernie Bonvoisin est le roi dec...)
Rock'n'roll, JFK... mais je suis certaine que tu peux faire mieux, vieux !