Paye tes wawas !
La maison ne recule devant rien !
Après la quiche*, les wawas...
Au départ, trois wawas dans la maison sarzeautine, car trois étages !
Nous avons sabré celui du premier qui mordait sur la cuisine. Un wawa qui mord, faut tout de suite penser à l'euthanasie.
Reste celui du rdc, dont nous nous occuperons plus tard, pfffff...
Et celui du second, près de la saldeub et des piaules, que mon espousé a décoré à sa convenance... avec force
et force...
et force...
Faiche !
Demain, on va déj avec mon père...
Il m'a demandé de le prévenir à l'avance quand on viendrait le visiter (1h30 environ de Sarzeau à Plouray, le bled où il habite).
J'ai peur de l'apéro-hors d'oeuvre-poisson-viande und légumes-salade-fromages-dessert-digestif.... rhhhaaa !
Mais je suis ravie de revoir mon paternel.
L'autre jour, quand nous sommes allés au pays des poules punks et des chats gris aux yeux verts, Armelle, qui fut de nos épousailles, m'a vertement tancée quand j'ai dit que mon père était un plouc sévère qui dépouille des lapins sans sourciller et plume des volailles en sifflotant.
- Tais-toi ! Il m'a fait pleurer ton père... la Romance de Paris... bouuuhhh...
* Non mais sans dec, pour ceusses qui ont esprimé l'envie... vous en voulez pour de vrai ????