On s'est pris une bonne raclette
Super soirée samedi avec des locaux et des exportés from Paris, en vadrouille sur la West Coast.
La bouffe que j'ai servie était dégueu.
Les deux from la Capitale m'avaient offert un service à raclette. Je manquais de temps, j'ai donc décidé de faire une pierre deux coups : faire une raclette et faire une raclette.
J'en n'avais jamais fait. D'ailleurs, y'a pas grand chose à faire, faut acheter des trucs. C'est un plat un peu Ikea. Faut monter le bouzin tout seul avec les éléments donnés.
Je me suis faite engueuler parce que j'avais épluché les patates vapeur, et que j'avais acheté du pain, alors qu'il ne faut pas de pain (mais y'en a quand même plusieurs qui ont mangé du pain).
C'est super lourd une raclette.
J'ai pris 2 kilos en une soirée, comme si je m'étais gavée de fricassée de groins.
J'ai l'impression d'être enceinte de 4 mois depuis samedi soir.
C'était même pas bon, en plus.
Pratiquement gerbant, en fait.
Mac est enceint aussi, et soupire en attendant la délivrance.
Je n'en ferai plus.
Pourtant, mon service à raclette est très beau. Très design, en verre avec des étages et des circonvolutions, tout ça.
Je me demande si on peut faire autre chose qu'une raclette avec un service à raclette ?
En fait, je voulais vous raconter ce que j'ai raconté aux raclettés de samedi sur mon unique séjour à Venise...
Mais là, j'ai plus envie. On verra demain.
Burp...
Putain de raclette !