Encore une gonerie !
Chaque année, la bonne ville de Lyon - Lugdunum en latin, Lmgrdf en gaélique - élit la plus belle d'entre ses femmes.
Cette année là, la Miss fut choisie à une large majorité en raison de son pot. Non, pas le pot chance, mais le pot popotin. Cette divine enfant avait une chute de reins vertigineuse qui se terminait en dargif moelleux, en potron fabuleux, en moulin à vents émouvant, en valseur audacieux, en pétard de 14 juillet... j'en passe et des plus exotiques.
Dans toute la ville, on ne parlait que du pot de Francine Bertard. Des photos circulaient sous le manteau, des artistes plasticiens le prenaient pour modèle, le club de tir à l'arc local recouvrit même ses cibles d'une représentation de ce divin troussequin au grand dam du Progrès qui titra :
Miss Lyon, un pot cible !