De la relativité de la positivité
Un week end en demi-teinte.
Bilan globalement positif.
Bon, non, disons 3/4 positif.
Il y a eu cette rencontre avec Coco que Mac et moi aimons bien, elle est si bonne et si gentilllllleeeuuu, on aime bien, qui ça ???
Merde, je m'égare.
Donc, avec plaisir et Mac nous donnâmes rdv à la dite Copinaute vers Chatelet.
Nous avons bu un café-chocolat avec une gonzesse charmante et intelligente qui n'avait aucune envie de nous rencontrer. Elle s'est fait forcer la main par sa soeur qui avait plus de curiosité qu'elle à notre égard. Et la frangine s'est fait la malle dans l'intervalle.
Bon. Du coup, tout était de traviole. Des trous dans la conversation, des rires ternes et jaunis. On se comprend, mais pas tout à fait.
C'était tout naze, finalement. Non par manque de qualité de l'interlocutrice (par manque de qualité de nouzôtres peut-être...) mais par manque d'envie pulsante et réelle d'une réelle rencontre.
Moi, Coco, je l'aime bien. Elle me fait marrer quand je lis son blog. Comme sans doute je la fais rigoler parfois quand elle me lit. Mais bon. Faut-il pousser outre ces relations virtuelles ?
Non.
On est soi-même sur son blog, mais paré des atours dont on s'attiffe. Déguisé, en représentation.
Je suis totalement moi ici, mais maquillée comme une voiture volée. Comme vous.
La première personne que j'aie rencontrée avec le blog, c'est Mac. Autant dire que c'était un succès féroce. Mais bon. Maintenant, je me méfie.
Aucune autre rencontre n'a été à ce point positive. Aucune autre rencontre n'a été à moitié à ce point positive. Donc.
Autrement, la Bastille, c'était beau. Sauf que j'avais donné rdv à Haïku boulevard Beaumarchais, et qu'on n'a jamais réussi à arriver au boulevard Beaumarchais, et que j'avais laissé mon téléphone à la maison pour ne pas avoir de sac à trimballer et que... ratage !
Mais bon. Adieu Président !!!!