Hé ho, ça va pas, non ???
Qu'est-ce que c'est que ce bordel !
Vos commentaires sont coincés et quand j'arrive à lire ceux laissés sur un ancien article, j'ai de la pub qui s'affiche !
Appelez-moi le Directeur de ce bouclard de mes deux !
Plus vite que ça !
...
17h40 - j'ai envoyé un message à l'équipe technique du bouclard. Ils me signalent que les conditions de partenariat ont changé le 1er octobre et que j'ai reçu un mail à ce sujet... mais bien entendu ! Bien au contraire ! Seulement je ne suis pas partenaire. Alors j'ai prié ces charmants jeunes gens de bien vouloir faire le ménage sur mon blog et d'enlever la pub. On va voir ce qui va se passer. A suivre !
...
17h52 - ils répondent vite et bien. Et je crois que c'était de ma faute ! J'ai regardé les droits d'auteur pour voir comment ça marche et si je pouvais éventuellement me faire des pépettes avec mes conneries. Y'a putasseries plus vulgaires que de vendre ses mots. Genre, on peut vendre autre chose. Tu me diras, on vend que ce que l'on a et "autre chose", j'en ai pas. Mais bon, dans mon exploration des méandres de la mise en pépettes de ma prose, j'ai coché une case, et mon blog s'en est immédiatement ressenti. Je viens de décocher la case. Prions mes frères.
Vos commentaires sont coincés et quand j'arrive à lire ceux laissés sur un ancien article, j'ai de la pub qui s'affiche !
Appelez-moi le Directeur de ce bouclard de mes deux !
Plus vite que ça !
...
17h40 - j'ai envoyé un message à l'équipe technique du bouclard. Ils me signalent que les conditions de partenariat ont changé le 1er octobre et que j'ai reçu un mail à ce sujet... mais bien entendu ! Bien au contraire ! Seulement je ne suis pas partenaire. Alors j'ai prié ces charmants jeunes gens de bien vouloir faire le ménage sur mon blog et d'enlever la pub. On va voir ce qui va se passer. A suivre !
...
17h52 - ils répondent vite et bien. Et je crois que c'était de ma faute ! J'ai regardé les droits d'auteur pour voir comment ça marche et si je pouvais éventuellement me faire des pépettes avec mes conneries. Y'a putasseries plus vulgaires que de vendre ses mots. Genre, on peut vendre autre chose. Tu me diras, on vend que ce que l'on a et "autre chose", j'en ai pas. Mais bon, dans mon exploration des méandres de la mise en pépettes de ma prose, j'ai coché une case, et mon blog s'en est immédiatement ressenti. Je viens de décocher la case. Prions mes frères.